La balance des couleurs et les contrastes n'ont besoin que de peu de changement, tout est là, avec peu de traitement. Authentique et proche de la réalité, la portra 160 documente adéquatement un traducteur de bande dessinée, sur son île déserte, qui se fait prendre par Les Grandes Marées.

À faible grain, faible contraste, faible ISO, ses paysages nuageux ressortent avec un vert plaisant et les teints de peau sous un magenta-orange campé. Une versatilité qui n'est toutefois pas autant au rendez-vous que pour la Portra 400. L'élégance prédéterminée est venu s'enrober à l'émulsion, sans la palette multifonction de la 400.

Deux amertumes ressortent de mon rendu. Tout d'abord, les couleurs pour des paysages ressortent assez fades, contrairement aux portraits. Un peu dommage, puisque ma bobine à surtout côtoyée des randonnées. Ensuite, plusieurs des photos prises mériteraient un stop en plus. Erreur humaine d'évaluation du posemètre ? Peut-être. En tout cas, le ISO sera réglé à 120 la prochaine fois.

À propos

La patience en toute voie, garde la clef de toute joie
- SNCF

A pour Apéro

Acte I

Chasse sur le soleil qui quitte l'horizon, presque aussi vite que le gâteau basque qui a rejoint mon bedon! L'eurasier dubitatif et curieux admire ce sprint.

Acte II

N pour Nudiste.

Acte III

La condensation s'est emparée des calanques. Dans une bâtisse, le café italien nous garde au chaud.

Nota Bene

L pour l'Olympique de Marseille. À jamais les premiers!