Un film qui peut se vanter d'être apparu au bon moment, la Cinestill 400D a fait son apparition suivant la crise de la bobine sur la chaîne d'approvisionnement, et cela pendant que l'argentique gagnait en popularité.

Ce rouleau à vitesse moyenne possède une émulsion à grain fin pour un film à ISO 400. Il offre un ton vert-menthe occasionnellement, et sa plage dynamique est aussi très satisfaisante. En effet, en regardant les hautes lumières des nuages au-dessus du Pont du 25 avril, je remarque qu'elles sont préservées en plus des noirs profonds sur la même image.

Le décalage de couleur d'une sous-exposition offre toutefois aux ombres une teinte de rouge. En ce qui concerne les portraits, le ton vert ne semble pas restituer l'aspect fidèle que pourrait offrir un Portra 160 (qui sera abordé dans le prochain article). Même si le "D" signifie "Daylight", l'imaginaire me guette en observant mes photos. Son aura rêveuse me fait ressentir une inquiétude à mesure que je les traite.

Comboio

Un univers entier accompagne mes nuits. Sa nostalgie illumine les collines

Santos

Acte I

Retrouver une zone familière, cette fois en enfilant un nouveau domino pour le bal masqué. Des rencontres se forment à travers les visages chaleureux qui virvoltent sur leurs rêves. Les changements se sont produits, pour le mieux.

Acte II

Rouler avec le jour, un beau matin, pour filer sur une faible pluie, se transformant en un vent. Le soleil se couche. La villa se fait border par la brise de la lune. Méditer à nez sur un pas balbutiant, l'avoir sur le dos. Piétonnier, pliés sur deux terres. Si une vague vient à passer, l'extase revient devant tant d'années de temps.

Nota Bene

Desassossego de não ter teorias, mesmo quando o instinto é certo